A la rechercher du père perdu

Je me rendit au Quatre Chêne Avec mon frère et mon amie. Comme prévu, les autre nous attendais.
- Bon, nous pouvons y allais ! Déclarais-je.
J'étais à l'arrière pour fermais la marche. Je n'avais pas vraiment ravi de savoir si Moony était ma sœur, car, si telle est le cas, notre relation ne pourras pas se développer... Soudain une odeur acre me prit à la gorge et je sus que le Chemin Du Tonnerre était proche. Vif-Argent qui était en tête travers le premier suivi de Célesta, Moony, Ruisseau Nacré, Lune Nuire, Tayfoon et moi. Nous avons traversé le Chemin Du Tonnerre, mais le pire reste encore à faire. Il faillais que nous nous introduisions chez Les bipèdes et trouvais l'endroit ou il font naitre les poulains. Mon père devais surement être là-bas, mais cette endroit allais me rappelais des chose qui s'était caché dans mon esprit. Comme la disparition de ma mère... Je senti une pression contre mon flanc, je tourna la tête et je découvris Célesta, me regardant les yeux emplis de compassions.
- Arrête de te morfondre, tu doit être fort, pour nous. Dit-elle tendrement.
Je détourna le regard. Cette phrase... Ma mère me disais cette phrase lorsque j'étais triste. Une larme coula sur ma joue. Je sursauta, Tayfoon était cabrais devant Célesta.
- Laisse le tranquille. Cracha-t-il.
Vif-Argent arriva au galop et lui donna un coup de tête dans le ventre. Mon frère tomba sur le côté, il se releva assez vite. Ruisseau Nacré s'approcha à son tour.
- Arrêtais de vous battre ! Cria-t-elle.
- C'est lui qui à commencer ! Répondit-ils tous les deux en cœur.
- Sa suffit ! Réplication-t-elle. Vous vous comporter comme des poulain ! Chacun à sa place !

Sur ce chacun reparti de la où il était venu. Je détourna le regard et je vit le haut des nid des bipèdes.
- Youpi ! On y est ! S'exclama Lune D'Ombre.
- T'ai toi. Ordonna Tayfoon.
Nous continuons notre route. Je leva mon museau. Je distingua une odeur d'équidé.
- Nous y somme presque ! Dit-je pour les motiver.
Nous repartons de plus belle. Mais je fût frappé de stupeur en voient des congénères enfermé, mais je continua à avancer pour mes amis. Nous arrivions dans une série de pré.
- MM Sultan ? Demandais-je.
- Qui le demande ? Répondit une voie fort et douce à la fois.
- Azzlan F ! Répondit-je à mon tour.
- Azzlan ? C'est toi ? Où est ta mère elle était dans le box à côté de moi. Sa fais un moment que je ne l'ai pas vu. Déclara-t-il, soucieux.
Je m'approcha et je vis enfin un grand étalon à la robe d'or. Il avais aussi la petite tache rose entre les naseaux.
- Elle est morte. Dit-je tristement.
Il parut frappais d'horreur.
- Connaissais-vous une jument qui me ressemble ? Demanda Célesta.
- Oui s'est bipède me l'avais amené deux fois. Pourquoi ? Demanda-t-il.
- Par-ce que c'est ma mère. Dit-elle.
- A moi aussi. Ajouta Moony.
- C'est bizarre j'ai l'impréssions de vous avoir déjà vu vous deux. Répondit-il.
- Donc tu est notre père ? Demanda Moony.
- Oui. Déclara-t-il.
- C'est génial. Veut-tu venir avec nous ? Demandais-je.
- Non, j'ai onze ans je suis trop vieux pour vous suivre. Répondit-il.
Nous disons au revoir à notre père et nous prenons le chemin du retour.

(Dark Angel tu t'occupe du retour ! )

<< Quelle rencontre étrange ! songeais-je en mon fort intérieur, quelque peu perdue. >>
Revoir les lieux de ma naissance et où j'avais passé dans la plus pieuse innocence, mon enfance m'avait fait un terrible choc et m'avait ébranlé au plus profond de mon être. Savoir également que mon père avait toujours vécu ici, sans pourtant que je le rencontre et dans la plus totale ignorance de mon existence me fit l'effet de n'avoir jamais été aimé pour une quelconque raison, d'avoir été laissé à l'abandon par simple et pure cruauté. Comme je l'avais pensé, amour était pour moi un mot tabou. Mon cœur se fit lourd, et pour me distraire de mes noires pensées, je tournais la tête vers ma...sœur... Je déglutis à l'entente mentale de ce mot, pas encore habituée à nos liens de parentés. Mais l'étions-nous vraiment ? Après tout, je n'avais jamais vu mon père ! Je me promis de revenir en douce, ici.
Dark Moon me sourit, voulut me parler, mais soudain, son regard si joyeux et enjoué se fit vide, se perdit dans le vague un instant, comme si elle entendait un appel, inaudible pour moi. Je cru tout de même distinguer une voix lointaine, se confondant dans les souffles de la brise déchaînée en ce début de journée. Puis enfin, tandis que mon inquiétude envers elle se renforçait, elle parut revenir à la réalité. Je fronçais les sourcils et elle baissa les yeux, mal à l'aise, comme si j'avais découvert un secret vital pour elle ou venait de proférer une vulgarité.
- Que se passe-t-il ? la questionnais-je, fort intriguée par son comportement singulier.
- Je... Je ne sais... me répondit-elle avec une totale incompréhension flottant sur ses traits.
Je décidais d'abandonner la partie devant son air décontenancé et surtout gêné, mais seulement temporairement.
La voyant si peu encline aux conversations, je la laissais pour me tourner vers mon Vif-Argent. Un immense sourire illumina mon visage en voyant le bel étalon à la robe de reflets de Lune. Il me le rendit et nous nous mîmes à converser activement, l'hypothèse de la maladie ayant disparue de nos esprits.
Plus tard, et après maintes demandes, Dwalath qui se taisait toujours, boudeuse, consentit finalement à me donner sa forme. En un clin d'œil, j'avais pris une apparence lupine et un collier que je reconnus sans peine se matérialisa à mon cou.
Mon Totem sortit de mon esprit en une brume argenté, qui, une fois sur terre, se solidifia pour devenir elle. Elle ricana avant de prendre la tête de notre petit convoi et de trotter joyeusement, sans pour autant m'adresser la parole. Mais pourquoi, depuis quelques jours déjà, ne me disait-elle plus un mot ? Peut-être me faisais-je des idées sur l'interprétation de son mutisme ? Mais brusquement, coupant court à mes protestations mentales, une forme sombre et floue surgit des taillis pour se précipiter face à Azzlan...
- Twilight ?! fit-il, mal assuré d'un air timide.

(Excusez mon manque d'inspiration et ce texte très léger... ^^')

- Tu ne pourras pas m'oubliais longtemps, père indigne ! Cria le jeune poulain gris. Ma mère ne t'a pas oubliais elle quand elle à laissais sa vie pour moi.
Comment expliquais à mes amis le plus grand de mes secrets. Cette chose que personne n'aurais du découvrir. Je me tourna vers mon frère. Il avais un regard haineux...
- Cesse de racontais des bêtises est retourne voir ta mère ! Ordonnais-je.
- D'accord alors tue moi si tu veut que je la retrouve ! Éclipse est morte et sa ne te fais rien ?! Répondit-il avec insolence.
Mes amis devais sentir ma peur. Comment cette erreur pouvais ce tenir devant moi ? Et comment a t-elle pu être morte... sans moi.
- Tu peut venir mais tu te tais. Lui glissais-je à l'oreille. Et nous rechercherons ta mère.
<<En plus elle ferais une nouvelle apprentie. Elle doit avoir 1 Étés. Mais Éclispe n'ait pas morte et je le sais>>
Les autre me regardais. Bad Dream prit seulement conscience à se moment la que nous étions observé.
- Qui c'est eux ?! Dit-il d'une voie peux aimante.
Je lui lança un regard mauvais, mais mes yeux pleurais, il pleurais pour ce poulain insolent et pour sa mère.
- Azzlan... Je... Te déteste ! Cracha mon frère avant de me tournais le dos.
Je regarda Célesta et Moony. Pouvais-t-elles m'aidais ? Non, elles détournèrent leur regards. Ruisseau Nacré, Vif-Argent et Lune D'Ombre ? Non plus. Ils ne m'aimais plus, je les avais trahit... Même mon frère me détesté... Je suivi... Mes amis ? Seulement le sont-il encore ?

Azzlan... Trahis, il nous avais trahis...
J'avais beau essayer, je n'arrivais pas à éprouver une once de pitié envers lui, une haine intense naissant en mon cœur qui avait souffert du manque cruel d'amour lors de mon enfance, de l'oubli même de ma misérable existence. Des flots de souvenirs que je croyais pourtant avoir ressassés et oubliés, du fait de leur ancienneté et de leur tristesse, déchirèrent alors mon esprit, cependant que mes prunelles se baignaient de larmes, brouillant mon champ de vision. Je luttais contre le chagrin, qui, déjà m'assaillais, sauvage, attaquant telle la morsure glacée du vil serpent, cerclée d'un venin mortel qui s'insinuait insidieusement en moi.
L'étalon qui avait été un de mes plus chers amis, voulu croiser mon regard si sincère qu'il en devenait écœurant, d'un vert printanier dans lequel évoluaient de mystiques volutes d'argent, tels des fantômes d'un passé lointain, mais je détournais la tête, incapable d'aggraver mon état, ainsi que le sien, en lui avouant la rage qui m'immergeait, fléau ardent ravageant toutes réflexions sensées. Je me mordis mes lèvres de mes adamantins crocs, et une goutte de sang vermeil, élixir de vie, perla de celle-ci, rubis écarlate, perle irisée de souffrance éternelle. Dark Moon, dans un mouvement synchronisé au mien, avait également ignorée la scène, et me lança un coup d'œil significatif que j'ignorais, souhaitant dissimuler mes larmes. Très intuitive, elle devina tout de même ma tristesse et frotta son chanfrein contre mon dos pour me réconforter de discrète manière. Je la remerciai d'un pauvre sourire auquel elle répondis par un battement de cil. Je soupirais grandement, et notre petit groupe se remit en marche, toute gaieté ayant disparue de nos âmes liées d'amour et d'amitié, en deuil. Car oui, nous pleurions la mort d'un ami, celle d'Azzlan. Le Trépas de celui que nous croyions être Azzlan, du moins...
Je fixais l'arrière du convoi et la jeune pouliche à la robe d'ailes de corbeau et au poil épais. Ses crins, déjà abondants, retombaient en boucle folle devant ses yeux, sur son encolure soyeuse. Ignorant l'être ingrat et ignoble qui cheminait à ses cotés, je m'approchais d'elle, mon enveloppe charnelle redevenant celle de Célesta, jument Chef de Clan sur une demande ma protectrice, tandis que ma cadence devenait plus rythmée et rapide. Je lui souris d'un air avenant, mais elle ne fit qu'afficher un air hautain et buté, n'exprimant aucune émotion si ce n'est l'impassibilité, à la vue de mon changement d'apparence rapide, alors que l'étonnement, voir la peur, aurait due habiter ses traits. Dwalath pinça les lèvres dans mon esprit et maugréa quelques paroles auxquelles je ne fis pas attention.
- Bonjour ! saluais-je la progéniture de l'étalon ignoré.
Elle me fixa impérieusement avant de daigner lâcher quelques mots à peine chuchotés :
- Qu'est-ce que tu me veux ?
J'ignorais habilement sa question à laquelle je répondrais bien assez tôt, essayant d'aborder le sujet tout en douceur.
- Tu te nommes bien Twilight ? C'est un fort beau nom, avouerais-je !
Je calquai mon pas décontracté sur le sien, rapide et énergique, sec, ses sabots claquant nerveusement contre la terre dure et parcourue de crevasses dues à la chaleur de l'été. Je me mis également à observer les cieux d'une cristalline pureté, d'un magnifique bleu pervenche, envahit de nuées d'oiseaux, l'air bourdonnant de leurs pépiements et chants, pour ainsi ne pas focaliser mon attention sur elle, en apparence du moins, et ne pas blesser sa dignité. Tout cela faciliterai d'ailleurs grandement l'échange. Je finissais par adopter avec désinvolture un ton dur et froid, et poursuivais :
- Mais où est donc ta mère ? Et que fais-tu seule ici ? Je conçoit parfaitement que tu es assez grande pou res...
Elle tourna son petit visage vers moi en levant ses sourcils dédaigneusement, me coupant en pleine phrase pour persiffler, revêche :
- Arrête de baragouiner ce que tu pense pas. Et ma mère est morte...
- Oh, je suis désolée, je ne savais pas ! mentis-je, bouleversée qu'elle s'en fiche autant.
- Bah elle est morte pour la bonne cause. Au moins, ma mère m'aimais, elle s'est sacrifiée pour moi ! s'enorgueillit-elle
Choquée, je la dévisageais, oubliant mes résolutions et toute politesse, pour fixer son grand sourire triomphal. Certes, sa mère l'avait aimé et avait préservé sa vie, mais elle, qui aimait-elle ? Etait-elle seulement capable d'aimer ?
Soudain, alors que j'allais répliquer, une convulsion parcourut mon ventre arrondie et endolori. Je gémis malgré moi et la pouliche se dérida, s'arrêtant à mes cotés, avant de finalement se mettre à observer mon regard plein de compassion et de tendresse. Une larme coula de ses grands yeux, et je compris que ses manières rudes n'étaient que façade et que, à l'intérieur, tout n'était que maux secrets... Un nouveau petit cri de douleur m'échappa, cependant que Vif-Argent se matérialisai comme près de moi, inquiet, suivit de Dark Moon...

Célesta émit un petit cri de douleur. Je stoppa net et me tourna vers ma sœur. Lors qu'elle croisa mon regard elle se détourna. M'en voulais-t-elle à se point. Twilight était près d'elle. Mais la question que je me pausais, c'était si Célesta allais mettre bas ici ? Je m'approcha de mes amis.
Je l'ai avais trahis, car chaque jour j'allais chez les bipèdes pour voir Nuit D'Éclipse. Et j'étais la le jour de la naissance de Twilight. Elle m'avais dit de m'enfuir avec notre fille mais les bipèdes sont venus, alors je suis parti seul. Mais surtout, comment aller réagir mon troupeau à cette annonce ? J'avais eu une pouliche avec une jument domestique, il ont le droit de nous chassais et de nous condamner à l'exil, ou pire ils peuvent nous tués... Mais depuis que je suis petit je l'aimais... Et j'étais moi même un cheval de bipèdes. Se pourrais t-il que le Troupeau Des Étoiles m'en veuille de ne pas avoir respecte le code du guerrier ? Soudain Célesta tomba au sol...

-Célesta, hurlais-je…oubliant momentanément la trahison d'Azzlan.
-Je…Je vais bien, haleta la jument.
-Non, non tu ne vas pas bien, dis-je.
Elle essaya de se relever mais chancela et retomba à plat ventre.
Une expression inquiète se peignit sur le visage de Vif-Argent.
-Que se passe-t-il dit Twilight.
-C’est ce que je craignis, cette tâche n’a rien à voir avec un quelconque lien de parenté avec Dark Moon, c’est bien le signe d’une maladie.
-Que dis-tu, hennis Vif-Argent, cette douleur n’est dut qu’à un poulain qui naitra bientôt !
-Sornette, dis-je à mon tour, Célesta est malade, et si nous n’agissons pas vite, elle risque de perdre la vie !
-D’où sais-tu tout cela me dit-il.
-Je…J’ai eu à me confronté à cette maladie.
-Tu dis n’importe quoi.
-Je dis la vérité, il faut faire vite.
-arrêtez nous coupa alors Dark Moon, la vie de Célesta conte bien plus à nos yeux que n’importe quoi, alors il vaudrait bien prendre des précautions.
-Oui, dis-je, trouvons un endroit sur ou dormir ce soir, sans que les bipèdes nous trouvent, demain nous devrons commencer les recherches.
Nous aidâmes Célesta à se relever, et nous marchâmes silencieusement jusqu’à une petite forêt.
J’observai alors la nouvelle venue, cette twilight… Je la regardai intensément…Elle était si jeune…je ne pus m’empêcher d’avoir pitié.
Nous nous assîmes tous en cercle, Vif-Argent ne cessait de m’envoyer des regards pleins de mépris, mais je n’y faisais attention, par contre mon attention avait été attiré par autre chose, Plume D’Aigle…
Le jeune cheval était assis, je ne pouvais déchiffrer l’expression de son visage, je m’approchai alors de lui :
-Plume d’Aigle ?
-Que veux-tu ? me répondit-il d’un ton sec.

Plume D'Aigle :

Ruisseau Nacré s'approcha de moi.
- Plume D’Aigle ? Demanda-t-elle.
- Que veux-tu ? Répondit-je d’un ton sec.
J'eus un pincement au cœur de lui répondre comme ça. Elle était très belle, et je... je crois que mes sentiment pour elle sont plus que de l'amitier. Mais mon frère à trahit notre troupeau ! Je ne veus pas faire comme lui ! Une petite larme coula sur ma joue en revoient les image de cette petite peste qui était à l'origine des malheurs d'Azzlan. D'ailleurs il était seul dans un coin, couchais sur le côté, se vidant de tous l'eau de son corps. j'avais un peu de pitier pour lui, mais surtout pour sa fille. Voulais-t-il mourir ? Je n'en sais rien.

Je m’apprêtai à répliquer quand je remarquai une larme qui coulait le long de la joue de plume d’Aigle, que lui arrivait-il ?
-Plume D’aigle, qu’y a-t-il ? dis-je.
-Rien je n’ai, je n’ai rien…
-Arrête, je vois bien que quelque chose ne va pas.
-Pourquoi t’entêtes-tu à voir que les choses vont mal ?
-Je… Alors c’est ce que tu penses ? Dis-je peinée, bien, excuse moi de t’avoir déranger.
« Ne sois pas triste, dit Caëlina, laisse tombé »
Je me retournai alors quand il me rappela :
-Etoile nacrée ? Je… je suis désolée ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, tu sais…avec ce qui se passe, Azzlan qui nous a trahi, je ne sais plus ou j’en suis, je te pris de m’excuser.
-Bien…ce n’est rien.
Je me laissai alors tomber à terre.
-Puis-je te poser une question ? Dit-il.
-Vas-y, je t’écoute ?
-Comment sais-tu pour la maladie de Célesta ? C’est vrai, comment peux-tu avoir compris alors que même notre guérisseur s’est trompé ?
-Je…Tu sais, qu’avant, j’ai beaucoup voyagé ?
-Oui et alors ?
-Je…Une de mes amies est morte de cette maladie, nous avons pensé la même chose à l’époque, qu’elle attendait un poulain, mais alors une tache sur son visage commençait à grossir, et elle avait de plus en plus mal, nous avions compris trop tard qu’elle était malade, et…le temps que nous trouvions quelqu’un qui pourrait nous aidé, elle était…morte, c’était une très bonne amie, c’était même ma meilleure amie, à l’époque…
L’évocation de ce souvenir m’emplit de douleur.
-Je ne voulais pas raviver en toi ces souvenirs, je…je suis désolé.
-Tu ne pouvais pas savoir, dis-je, ce n’est rien, mais laisse moi te poser une question à mon tour, mais promet moi de ne pas te fâcher.
-Vas-y.
-Ne le prends pas mal, mais, pourquoi te montres-tu désagréable envers tout le monde ?
-Je…C’est…

Plume D'Aigle :

- Ne le prends pas mal, mais, pourquoi te montres-tu désagréable envers tout le monde ? Demanda-t-elle.
- Je… C’est… Bafouais-je.
Je me retourna pour demandais de l'aide à Azzlan, mais il n'était plus là ! Et Twilight non plus ! Je me redressa maladroitement.
- Azzlan et Twilight ont disparut ! Criais-je.
Mes camarade me regardèrent l'aire de dire <<ah bon ?>>. Je me tourna vers Étoile Nacrée et lui fit un petit signe de tête car je devais rechercher mon frère. Je parti en murmurent quelque insulte. Me suivais-t-ils ? Je ne sais pas, mais je l'espère...

Azzlan :

Twilight me suivais, elle ne semblais pas très heureuse de s'en allais. Mais peut importe, si ils ne m'apprécient pas, je ne vais pas les embêter. Avais-t-ils vus ma disparition ? A mon avis ils sent fiche. Même mon frère. je vais appeler ma mère et elle me dira si celle que j'aimais est avec elle. Ils faut nous rendre dans mon désert sur la plus haute dune.Je me mit à galoper avec Twilight à met trousse. Nous y sommes. J'escalada la dune avec ma fille. J'étais enfin en haut, je me mit à hennir. Une étoile descendit du ciel et se posa devant moi. Dans un éclat lumineux je devina ma mère. Je m'approcha d'elle et je fourra mon museau dans sa crinière.
- Maman ? Est-ce que tu à vu Nuit D'Éclipse là haut. Demandais-je.
- Non, ne l'ai pas vu. Pourquoi ? Répondit-elle.
- Par-ce que à la naissance de ma fille elle à disparut. dit-je.
- Oh, je vois. Je vais chercher si elle est qu'elle que part. Je t'envairais un message. Dit-elle avant de disparaitre.
Je reparti, est-ce que je vais retournais voir "mes amis" ? Oui je vais y allais.

Inquiète, je me maudissais intérieurement. Mais que m'avait-il pris de partir discrètement et de suivre Azzlan ? Je n'en savais rien, quoique l'amitié et l'amour que j'éprouvais en tant que sa sœur me domine de nouveau... Et si il ne s'était pas douté que sa compagne était pleine d'une nouvelle âme, d'un petit être en devenir et était parti, séparé d'elle d'une quelconque façon ? Je n'en savais rien, si ce n'est qu'il me fallait élucider cette affaire pour le bien de mon ami et tyran de frère. Je grommelais une incompréhensible parole à l'insulte que ma lançais Dwalath. Elle était restée sur place pour brouiller les pistes et j'avais repris ma forme lupine et je l'en remerciai d'ailleurs grandement ! Chose qu'elle ne me rendait vraiment pas...
Soudain, la brise soufflant dans mon pelage de nuit sombre, j'entendis un sanglot de douleur étouffé. Je hoquetais à l'entente de ce son avant de me tapir dans les taillis, jetant un œil prudent par-dessus les plantes abondantes. Alors, entra dans mon champ de vision une jument délicate des plus ravissantes. Sa robe aile de corbeaux luisaient de reflets nacrés dans la pénombre ambiante, cependant que ses sabots lustrés étincelaient comme autant d'étoiles d'argent. Elle était allongée dans une herbe pauvre et sèche et un liquide irisé semblant s'écouler de ses côtes et d'une plaie béante. Je retenais mas respiration qui se fit bruyante devant tant d'horreur.
- La pauvre ! murmurais-je, atérée.
je me levais silencieusement avant de converger vers elle avec une lenteur calculée. Tout à son malheur, elle ne me remarqua pas, les larmes roulant sur son chanfrein et collant son pelage soyeux. Je m'arrêtais à quelques mètres d'elle, cependant qu'un mot sortait de ses lèvres gémissantes et frémissantes de douleur : "Twilight".
Alors, tout se mit en place... Elle était la mère de cette petite teigne malheureuse de Twilight ! Elle murmura une phrase, purement malade de toutes les tortures autant physiques que mentales qu'elle subissait :
- Azzlan ! Pourquoi m'avoir laisser à mon agonie ? Je te déteste ! fit-elle faiblement d'une voix enchanteresse.
Ses pleurs la submergèrent de nouveau et ses yeux se baignèrent de larmes avant de murmurer le prénom d'Azzlan de nouveau.
Soudain, elle me remarqua et ses incroyables yeux pervenches se fixèrent sur moi, magnifiques...

Je regardais le ciel. il y a vais une éclipse. Rien de plus difficile comme message. Mon amour est vivante. Je parti au galop rejoindre mes amis pour leur annoncer ma nouvelle. En passent dans un taillai je vis un loup, ou plutôt une louve. Je stoppa et je m'approcha de Célesta. Une belle jument à la robe noire était étendu sur le sol avec une plais sur le côté. Éclipse !
- Azz... Azzlan ? Béguailla-t-elle.
Je m'approcha d'elle et je me mit à ses côtés, ma tête sur son encolure.Une petite larme coula sur sa crinière. Mais ce n'était pas une larme de tristesse, mais plus une de joie. J'aida ma belle à se redresser. Twilight était encore en retré. Éclipse boitillais, Célesta était redevenu une belle jument à la robe qui m'intrigue temps. Ma fille s'approcha de sa mère, mais elle n'osa pas la toucher. Sans doute de peur de lui faire mal ? Lors que nous arrivâmes à l'endroit où nous nous étions retirais. Tous le monde était là. En voient les blessures d'Eclipse Dark Moon s'approcha. Ma belle s'installa au sol pendant que Moony la soignais. Moi j'étais placé à côté d'Eclipse avec notre fille. C'est tous se donc j'ai rêvé, avoir une jument qui m'aime et que j'aime et avoir un petit avec cette jument. Et c'est se que j'ai.

(réponse en cours, ne pas poster, je suis partie manger. Merci ! )

(Excusez le double-post... ><)

Je souris avec tendresse en voyant toutes ces preuves d'amour qui m'enchantèrent. Sans vraiment m'en rendre compte, mon âme avait réintégrée l'enveloppe charnelle de cette jeune jument à la robe d'un doré solaire pur et respirant la vitalité que j'étais. Une tête s'appuya doucement sur mon encolure, derrière mes oreilles, provoquant un léger frisson de désir teinté d'un plaisir sans équivoque en moi. Un nouveau sourire illumina ma face et je me blottis contre Vif-Argent, tout simplement heureuse. Je fermais les paupières, m'emplissant avec délice de la douce et entêtante fragrance florale de délicates roses d'un pourpre ardent et aux senteurs épicées qui émanait de la robe de Lune de l'étalon que j'aimais plus que tout. Ma guérisseuse préféré et sœur adorée, j'ai nommée Dark Moon vint à nos cotés de son pas aérien, telle une danse et une ode à la nuit silencieuse.

- Après cette journée pleine d'émotions, il serait temps de dormir, vous ne croyez pas ? dit-elle de sa voix claire comme le murmure du vent à travers les branches sylvestres.

Je hochais la tête avant de me dégager lentement de l'étreinte de mon amoureux et de faire quelques pas. A l'ombre d'un chêne centenaire au tronc rongé par la mousse, je m'allongeais, bâillant sans retenue aucune. Vif-Argent vint à moi et se laissa tomber à mes cotés, plantant son regard de nacre plein d'amour dans mes prunelles d'émeraude emplies de volutes embrumés.
Finalement, je jetais une oeilleude vitreuse et embrouillée par les brumes du sommeil qui m'immergeaient, vers les cieux d'une cristalline pureté, comblée et euphorique. Je retins une perle de joie qui s'accrocha dans mes cils avant de rouler le long de mon chanfrein, cependant que la Lune, ô Astre de toutes mes fascinations, nous gratifiait de ses derniers rayons d'un argent pur, la robe de mon amour comme rayonnant d'une énergie propre et d'un halo mirifique. Le ciel de velours était clairsemé de point de raison et d'espoirs, formant de célestes tracés et constellations que je ne pouvais qu'admirer, subjuguée. Soudainement, une comète traversa la voûte de l'univers, flammes de joliesse et de hardiesse, éternelle.
Un vœu germa dans mon esprit cependant que les Bras de Morphée venaient me cueillir, baignant dans une source de bonheur...
Ma tête retomba mollement contre celle de Vif-Argent et nous dormîmes, enlacés, l'amour nous liant, en ces heures nocturnes où stridulaient les criquets en une monodie incessante, mais envoûtante...

Mais comme toute chose, même plaisante, ces moments n'étaient qu'éphémères et de nouveau la tristesse et l'horreur devaient nous submerger, tapis dans l'ombre, attendant le moindre signe de relâchement de notre part...

Un contact glacial contre mes naseaux brûlants m'éveilla et je papillonnais des paupières, la clarté lunaire m'aveuglant. Deux iris d'un vert printanier me fixaient et je les reconnus sans peine, une pointe de surprise s’immisçant sur mes traits.
Dwalath.
Dwalath qui ne m'avait plus adressée la parole depuis des jours entiers qui m'avaient semblé si longs, sa voix sarcastique mais rassurante, pleine d'ironie ne retentissant point, se taisant en un mutisme infernal dans mes réflexions troublées.
Dwalath qui me faisait face, me dévisageant.
Bouche bée, je laissais errer mes yeux sur son pelage d'ébène étincelant de reflets d'écume et remarquais sans peine des gouttes irisées noirâtres dans la pénombre ambiante : du sang...
Un frémissement parcourut ma colonne vertébrale. Alors, je compris. En réalité, durant ces temps où je l'avais cru fâchée contre moi, elle n'avait pas été à mes cotés, mais...ailleurs... Quelle était la raison de cette absence ?
La détaillant avec un peu plus de précisions, je vis d'écœurantes balafres et blessures qui firent chavirer mon cœur, mon Nirvana personnel s'éloignant à chaque battement de cils, à chacune de nos respirations saccadées. Je hoquetais à la vue de sa patte antérieure droite maladroitement recroquevillée sous elle et me relevais, me dégageant de Vif-Argent, lui déposant tout de même un léger baiser au-dessus de son œil. Une moue heureuse se dessina sur sa bouche cependant que je m'éloignais, me doutant que après les révélations de mon Totem, ce serait peut-être la dernière fois que je le voyais. Des larmes, d'asthénie cette fois-ci, ne purent s'empêcher de déborder de mes yeux gonflés et rougis.

<< Ne t'inquiète pas... me dit mentalement mon Esprit lupin protecteur. Je suis là. >>

Toute trace d'humour avait disparue de ces propos. Elle paraissait avoir mûrie, même. Un sourire forcé de crocs adamantins tâchés de traces vermeilles s'esquissa sur ses traits endoloris, remplacé bien vite par une grimace de souffrance.

- Que...que s'est-il passé ? la questionnais-je, angoissée.

Pour toute réponse, elle se détourna de moi, me présentant son arrière train et, gracieusement, entama quelques pas de danse de sa cadence rythmée, s’avançant à travers les bois bordant la clairière où nous nous étions arrêtés pour nous reposer. Je calquai mon pas sur le sien, à la poursuite de ses traces… à la poursuite de mon destin…
Elle ne prononça pas un mot, infatigable, telle l’ombre d’un fantôme, ses coussinets se posant sur le tapis d’humus qui recouvrait la terre forestière sans bruits aucuns. Mes sabots résonnaient contre les occasionnels cailloux et rochers en un troublant cliquetis. Enfin, après ce qu’il me parut un interminable temps, elle s’arrêta avant de se mettre assise. Tandis que je la rejoignais, mon apparence changea pour devenir la sienne dans une brume d'argent.

- C’est ici que tout à commencer. Et c’est ici que tout se finira..., fit-elle, distraite, sa voix on ne peut plus sérieuse résonant sombrement entre les vestiges d’arbres morts qui hantaient cette partie de la sereine sylve.
- Qu'est-ce qu'il se finira ? demandais-je, la gorge nouée, mon estomac se contractant.

Elle ne répondit pas, se contentant d'un geste de la patte englobant la trouée des taillis dans laquelle nous nous trouvions. Je failli lui demander ce que je devais voir, mais je n'en eue pas besoin... Le décor macabre me sauta aux yeux et je m'interrogeais un instant : comment avais-je pu ne pas remarquer ceci plus tôt ?! Ce fut comme si le tout avait été sauvagement brûlée, toute vie, soigneusement et avec cruauté et sadisme, annihilée, ôtée avec un plaisir malsain...
Me surprenant, la voix de ma louve préférée reprit, neutre, lente telle une conteuse aguérie :

- Les démons ont envahis la forêt et notre paisible monde. Ils sont le fruit des expérimentations des Humains, voulant sans cesse gagner en puissance. Ce peuple n'a dans le fond pas d'expérience et ne tient aucunement compte de ses bêtises d'antan, se condamnant... Il est de notre devoir, à nous, possesseurs d'un Esprit Totem et Esprits Totems, de protéger les Bipèdes, comme vous les appelez couramment, de leur folie douce et de leurs inventions. Ou la planète courre à sa destruction pure et simple...

Ses mots, plus que tout, me choquèrent, me stupéfièrent. Je battis des paupières, avant de me muer en statue marmoréenne, la peau glaciale, blêmissant, incapable de bouger, la vérité de ces propos me prenant à la gorge, m'étouffant. Je haletais, et mon amie consentit enfin à lever un regard empreint de sagesse et de chagrin passé. Brusquement, alors que nous étions en plein échange muet, une secousse ébranla la terre morte de toute étincelle vivante.
Je vacillais, perdant l'équilibre, cependant que Dwalath sautait sur ses pattes en grognant, prenant une posture guerrière, se préparant à un possible combat. Affolée, je me positionnais derrière elle, balayant de mes rétines les environs. Mais aucuns évènements notoires ne se déroulèrent, et calmement, l'alerte passa.

- Les démons... dit simplement ma Protectrice, tournant ses oreilles vers la source des sons caverneux et d'outre-tombe qui provenaient du centre Terrestre, décroissant d'intensité, plus qu'échos malgré tout faiblement audibles. Ils attaquent le camp.

Une image de désastre dans ma tête, le corps de Vif-Argent, mes amis, ma famille, disloqués, sans vie, suffit à me faire retrouver assez d'énergie, une haine intense déferlant en moi. Si jamais ces démoniaques créatures touchaient à eux... Il leur en cuira...

Le sol trembler et une créature vint en face de moi, un regard assassin et plus loin le corps sans vie de ma fille. Moon Light plus loin le corps ouvert de partout. Eclipse encercle par cet étrange aussi étrange que effrayent. Vif-Argent, coucher au sol et agonissent. Dark Moon se battant que une tigresse. Célesta et Dwalath ce battant plus loin, leur puissance réunit. Tayfoon coucher près du corps de Ruisseau Nacré. Lune D'Ombre ne sachant que faire, avec une patte brisé. Et moi, forcer que regarder ces horreur.

Je me réveilla en sursaut. Avais-je rêvé ? Certainement car tous était endormit. Mais tous cela semblais si réel. Je senti une présence lupine. En me retournent je découvris Moon Light blessé. C'est vrai que c'est dernier jour je ne l'avais plus vu. Mais que lui était-il arrivé ? Et où est Célesta ?

- Vu ton aire inquiet, je suppose que tu à reçus mon message ? Car oui se n'était pas un cauchemar. C'est se qui risque de se passer si tu ne fait rien... Déclara-t-il, lugubre.
- Mais... Comment sais tu cela ? Demandai-je.
- Je le sais, c'est tous. Azzlan va tous les réveiller, prévint les du danger qui approche à grand pas vers vous. Ce sont des Démon. Créé par les bipèdes et ils font simplement venir pour vous tuez... tous. Dit-il.

J'allai réveiller mes compagnons. Mes une pensé me vin à l'esprit. Pourquoi Tayfoon pleurerais la mort de Ruisseau Nacré ? Et si il était tous simplement tombé sous son charme ? Mais bons, si n'est pas a sa que je dois penser. Une fois réveillé, je leur expliqua se qui allais se passais. Et pour certain, je leur expliqua mon rêve. Mais surtout, allais-t-ils me croire ? Et bien oui, ils m'ont tous cru. Et heureusement, car, juste après mes explication, il y eu une brume épaisse. C'est à pêne si je distingue mes proches. Des créature au couleur vif débarquer de nul part et elles ont les voyais bien. Elle ressemblé au bipèdes, mais elles avais des patte arrière de loup et des corne de taureaux. Ils étaient partout ! J'entendis l'hennissement sonore de Moony. Mais impossible de la localiser. Je couru et essayais de retrouvais ma sœur et ma petite famille. J'entendis Twilight, Mais la se n'était pas un cris de détresse mais un cris d'agonie ! Je la trouva. Elle était coucher sur le flanc, une profonde entaille traversais son poitrail. Éclipse approchais a son tour et elle se précipita sur notre fille. Je la suivi. Nous étions couché au côté de notre trésors. Je senti des battement d'ailes. La brume disparut comme elle était venu. Célesta et Dwalath arrivais. Mes amis était groupé autour de nous. Les créature avis disparut, mais j'avais beau chercher je ne trouvais pas Monny. Une jeune fille au aile d'oiseau s'approcha de Twilight...

Je me rapprochai en boitant de Twilight, mais ma blessure ne m’importait guère, je ne connaissais pas la jeune pouliche depuis longtemps, mais mon amitié pour Azzlan suffisait à me faire souffrir en voyant l’état dans lequel était son enfant.
Mon regard se porta alors vers la jeune bipède ailée elle regardait tour à tour Eclipse, Azzlan, et leur chère enfant.
-Qui es-tu ? lui dit Tayfoon, le regard méfiant.
-Du calme, dit-elle, sa voix était douce telle une légère brise, je suis ce qu’on appelle un esprit guérisseur.
Nous la dévisageâmes, un esprit guérisseur, mais qu’était-ce donc ?
Comme pour répondre à notre question silencieuse, la jeune fille à la chevelure de jais, posa sa main sur le flanc de l’agonisante, une intense lumière s’en échappa alors, puis disparut aussitôt, nous posâmes alors nos regards sur la jeune twilight qui nous sourit, elle était guérit.
-Nous ne savons comment vous remercier, dit Eclipse.
-C’est naturel, mais je dois vous prévenir, il faut faire attention, les démons reviendront. Ils ne laissent pas tomber aussi facilement.
-Que nous veulent-ils ?
-Ils sont mauvais, ils aiment le mal, nous ne pouvons expliquer leurs mentalités.
-Nous nous préparerons, merci de votre aide, savez-vous ou est notre sœur Moony? dit Azzlan.
-Non, je ne sais, dit-elle désolée, à présent je dois m’en aller, au revoir.
-Attendez, hennis-je, regardez, Célesta est malade, pouvez-vous la guérir ?
-Célesta n’est pas malade, dit Vif-argent, me foudroyant du regard.
-Je vais voir cela, elle s’approcha de la jument, et mit sa main sur ses naseaux puis ferma les yeux, et la lumière apparut de nouveaux, avant de disparaitre comme la première fois.
-Tu es guérie, vous avez bien fait de me faire signe, dit-elle avant de disparaitre.
-Que pouvons-nous faire à présent ?
- Asseyons-nous et discutons, de la meilleure attitude à adopter. Dit Azzlan.
Nous nous éloignâmes quelque peu, c’est là que je me rendis conte que je boitais toujours, j’avais complètement oublié ma blessure.
-Qu’as-tu ? me dit Plume D’aigle.
-Rien…
-Tu es bien sure ?
-Oui.
Nous nous laissâmes alors tombé par terre, formant une ronde Azzlan prit la parole.

Je m'installa et je commença à parler.

Premièrement : Il nous faut rentré chez nous. Cela fait longtemps que nous nous sommes absenté.
Deuxièmes : Dire à notre de ne plus sortir de nos territoire et d'être au moins à quatre lorsqu'il doive parti.
Troisièmement : Prévenir les dominants du Troupeau De L'ombre et De L'Île.
Quatrièmement : Ont se rend au Haute Pierre pour parler avec le Troupeau Des Étoiles.

- C'est bon ? Sa vous con vient ? Demandais-je.
- Oui c'est parfait ! Répondirent-ils en cœur.

J'allas voir Vif-Argent.

- J'ai une petite question indiscret à te poser. Dit-je.
- Vas-y.
- Je me demandais si, pour Célesta, tu serrais près à quittais ton troupeau pour allais dans le sien et devenir l'autre Dominant ? Demandai-je.
- Oui. Déclara-t-il.

Je retourna près d'Éclipse. Lorsque l'on iras au Haute Pierre, elle pourras devenir la dominante de mon troupeaux et Twilight deviendra la nouvelle Lieutenante ! Sur ce, je m'endormis.

Wahou ! C'est géniale ! J'èspère que mon personnage vous viendra en aide !