La rencontre

La toison argentée commencer a être haut dans le ciel. J'avais profiter d'une petite dispute pour m'éclipser 2 min et liberé mes frele épaule du poid qui y pesser. J'était paisiblement en train de broutais dans les champs des bipèdes. Ma robe alezane s'emblé s'enffaler à la lumière de la Lune.

Le soir tombait, l'air embaumait une étrange senteur, tandis que je trottait allègrement à travers les blés.
Les herbes me chatouillait le ventre, je m'ébattais, libre comme jamais, heureuse de ce répit. J'avais besoin d'évacuer les diverses tensions de Chef de Troupeau qui sans cesse n'habitaient, et pour celà, rien de tel qu'une balade, hi hi !
Et soudain, dans une trouée du champs, j'aperçut un cheval en train de brouter paisiblement... Ma curiosité l'emportant, je m'approchais doucement, quelque peu gênée. L'autre cheval à la robe d'un bel alezan n'avait pas l'air de remarquer, et c'est silencieusement donc que je m'avançait, de peur de le troubler.
Soudain, il leva la tête vers moi, vivement, un hennissement à le frontière des lèvres, surpris.
-Euh...Salut...Fis-je, timidement. Je m'appelle Étoile Céleste, mais je préfère Célesta... Et toi ?
Je m'ébrouai, ma robe d'ambre scintillant au soleil de braise couchant, mes crins s'emmêlant.

Un peut gêner je lui répondit.
- Moi, c'est Etoile D'Arabie, mais tu peut m'appeler Azzlan c'était le nom que ma mère m'avais donner avant de... Fit-je assez gêner par ma réaction. Mais les souvenir de ma défunte mère remonté lent en souffrance je la revoyez se faire assassinais par un loup.

Je baissais le regard, vraiment gênée.
-Ah, c'est un très beau nom que...Azzlan... Marmonnais-je, le sang montant à mes joues.
Un silence plutôt désagréable, teinté de timidité, s'installa entre nous. Je suivis des yeux un papillon multicolore aux ailes chatoyantes, avant de demander :
-Euh, l'herbe est-elle bonne ?
Ah, je n'avais rien d'autre de mieux à dire "Que l'herbe est-elle bonne ?"... C'était tout moi, ça !
J'attendis sa réponse, daignant enfin lever la tête. Mes yeux se posèrent un instant sur les siens...Avant de regarder un point imaginaire sur son garrot.

Après avoir était surpris par cette question je lui répondit.
- Euh... oui les bipèdes l'arrose tous les jours. Elle est délicieuse ! lui rédit-je poliment.
Elle baissa la tête et prit une boucher d'herbe. Elle releva la tête. Je lui posa cette question qui me semblait débile mais je le fit quand même :
- De quel troupeau fait tu parti ?
Et voilà le chef qui était en moi remonté a la surface. Mais comme je suis bête des fois.

J'acquiesçai silencieusement avant de baisser mon encolure, et ainsi prendre quelques brins de l'herbe verte qui se balançai aux vents.
Effectivement, elle était délicieuse. Sa saveur sucrée, légèrement piquante, m'enchanta, et c'est avec un visage impassible que je relevai la tête, seuls mes yeux brillant d'une lueur timide.
Il demanda alors doucement, tandis que je mâchais :
- Quel est ton troupeau ?
Je lui souris avant de lancer gaiement, assez fière de moi-même, il fallait l'avouer :
- Je viens me détendre, être la Dirigeante du Clan du Tonnerre n'est pas un travail facile tous les jours !
Mais à peine avais-je prononcée ces mots que déjà le prix de ce titre me revint en mémoire, que les souvenirs de ce soir hantant mes pensées et mes songes ressurgirent en moi, explosèrent douloureusement. Même après plus de 2 étés, je ne l'avais pas oublié...Jamais je ne l'oublierais ! Je me mis a gratter nerveusement le sol, fusillant du regard tout ce qui m'entourait, tandis qu'une larme, une unique larme de souffrance, telle une perle de cristal, noya mes yeux et roula sur mes joues avant de s'éteindre dans mes crins abondants...
Azzlan avait l'air d'être inquiet, aussi, lui demandais-je :
- Et...Et toi, quel est ton Troupeau ? Que fais-tu ici ?
Ma voix trembla, et ne se leurrant pas, il pencha la tête sur le coté...

- Je fait parti du Troupeau du Désert. Dit-je gêner, de l'avoir blesser. Je suis la car j'en n'est un peut marre des petite dispute d'apprentis. Et, je me souvient de toi, avant je faisaient parti du Troupeau du Tonnerre et tu était notre lieutenant. Qu'est-il arriver à Étoile D'Orient ? Demandais-je ma vigueur retrouver. Je la vit commencer à trembler, je m'éloigna de quelque pas. Et je commença à regretté mes parole.

(Je revint dans une 1 h !)

Je fermais un instant les paupières hermétiquement. La scène se déroula à nouveau devant mes yeux, si réelle... Je luttais contre celle-ci, revoyait le sang tachant sa robe d'un noir d'encre, moi qui essayait de pousser l'arbre, en larmes, le liquide tentateur couleur vermeil se mélangeant à la boue, à la pluie qui tombait drue, tandis que les arbres poussaient leurs étranges lamentations dans l'orage...
-Non... Non... NON ! Hurlais-je en ouvrant de nouveau brusquement les yeux.
Azzlan recula de quelques pas, apeuré alors que, en proie à une tempête intérieure, je tâchais de me calmer.
- Ce...Ce n'est rien... Simplement...C'est trop...Horrible, fis-je, des larmes dans la voix, sanglotant à demi.
L'étalon, toujours à quelques mètres de moi, attendit que ma crise se calme, et je répondit en un murmure à peine audible, regardant le ciel étoilé :
- Étoile d'Orient est...Il a été écrasé par...Un arbre... J'ai essayé de l'aider, mais rien n'y a fait...
Il me regarda avec compassion et j'ajoutai, plus pour moi que pour lui :
- Je l'aimais, et toujours je l'aimerai... La mort ne nous séparera pas...
Je m'ébrouai, fermant brièvement les yeux, puis les rouvrant, avant de continuer sur un ton léger :
- Mais tout cela, c'est du passé... N'y pensons plus ! Es-tu Chef depuis longtemps ?
Malgré mon extérieur calme, à l'intérieur de moi, je souffrais, la blessure de mon cœur s'était de nouveau ouverte...

(Oki ! Dsl du retard de mes réponses, j'étais sur mon blog en même temps...Moi, je vais dans ma piscine, vers 19 heures, je reviens ^^)

(Ok, à toute !)

- Euh... Depuis 2 Étés. Dit-je mal à l'aise. Je... je suis désoler. Je ne voulais pas te rappeler de mauvais souvenir. Mais il était mon mentor et je voulais... Je m'arrêta de parler, pour ne plus la faire souffrir. Je comprend j'avais vécu ça avec ma mère. Et soudainement le souvenir de sa mort me revient en mémoire. Mais je me reprit aussi. Je ne voulais pas me montrer faible, et cette journée qui semblé très belle aller mal finir pour elle. Alors, sentent que j'avais fait une bêtise je m'approcha d'elle, même si je ne la connaisse pas beaucoup, je la prit contre pour la consoler. Elle semblé surprisse, mais se détendit. J'avait oublier que nous étions des chefs et que nous étions ennemis.

- Ce...Ce n'est rien...Fis-je, conciliante, avec un demi-sourire.
Soudain, lui aussi parut se remémorer des choses très dures, mais il resta impassible. Je compris qu'il ne voulait pas se montrer faible devant moi. Après tout, nous étions sensés être des ennemis ! Je poussais n soupir nostalgique et baissais la tête, quand soudain, je le sentit contre moi. D'abord très surprise, je sursautais, puis me détendis, prenant goût à cette étreinte qui signifiait peut-être le pacte d'une amitié, malgré que nous soyons ennemis...
Finalement, je me dégageai de lui pour m'éloigner de quelques pas, un peu rougissante. J'allais prendre la parole, quand un bruit étrange dans les blés me surpris...

(ça pourrais être quoi le bruit Dark Angel ?)

(hum...un oiseau, ou...un bipède qui veut capturer Céleste et Azzlan je dirais ^^)

(Ok !)

Nous nous retournons pour voirent d'où venez le bruit. Mais se que nous voyons nous glaça le sang. Un bipède était devant nous avec une corde à la main. Il me rappelle quelqu'un. Soudain je me souvenu de ma mère. Même après 2 Étés, il avait toujours son odeur. Je sorti de mes pensés quand j'entendit Celesta hennirent ! Il s'approcher de nous. Je lui fit barrage, je voulais qu'il parte et qu'il nous lessent tranquille, même si s'est un peut grâce à lui si je me tien là. Mais bizarrement il continua à s'approcher. Je me cabra pour qu'il parte mais rien à faire. Ont aurais dit qu'il me reconnaissais. Et étrangement je me calma. Mais un autre bipède arriva il était très bruyant. Nous avons choisi cet instant pour nous enfouirent.

Je galopait le plus vite que je pouvait il fallait a tout prix que je retrouve cette jument à la robe d'or. Lorsque soudait au milieu de épis de blé je reconnu la silhouette familière d'Étoile D'Arabie et celle de la jument ! Et derriere eux un bipede !
-Fuier dépécher vous!!!

Je me retournais vivement...Avant de hoqueter de stupeur... Devant nous, un Bipède, une corde solide à la main. Azzlan resta de marbre, plongé dans ses souvenirs. Connaissait-il ce bipède ? Moi, je n'en avait vue que étant petite... J'avais aimé mes Bipèdes, bien les quitter ne m'ait pas déplu. La liberté avait tellement meilleur goût !...
Je le vis esquisser un pas. Je hennis avec menace. Azzalan l'empêcha de passer, se mettant sur le coté. Mais le Bipède, les yeux rivés sur moi, continua a avancer. L'étalon se cabra, remua ses antérieurs en l'air d'un air menaçant, mais un second Bipède apparut à ce moment là. Il m'était bizarrement familier, trop familier...
- Azzalan ! Criais-je, partons !
Il me lança un regard appuyé, avant de me suivre. Nous galopions côte à côte, mais soudain, mes souvenirs émergèrent et je m'arrêtait d'un bloc. L'étalon se retourna :
-Célesta, viens, il faut fuir !
Mais je restais sur place, les oreilles aux aguets. Cet homme, le second...C'était celui qui m'avait longtemps servit de père. Mais...Que me voulait-il ?
J'aperçus soudain une silhouette mouvante, plus loin, dans les blés... La jument du Troupeau d'Azzlan !! Elle me parla, mais je n'entendis rien, car une corde s'enroula autours de mon cou. je me débattis, j'entendis Azzlan, hennir. Une chose froide et pointue s'enfonça soudain dans ma croupe...et je m'écroulais à terre, inconsciente...

- Celesta ! Celesta ! Répond...
Mais une corde m'étrangla. Pendant mon moment de faible une autre s'empara des mes antérieur. Le Bipède tira sur la corde. Je me déséquilibra. Ma tête se cogna contre le sol et je perdit aussi connaissance.

Inconsciente, bien que je ne le sache pas, j'entendais des voix me parler, m'appeler... Il fallait que je me sortes de là ! Mais comment ? Affolée, je regardais autours de moi. Mais il n'y avait rien, rien que du noir, des ténèbres infinies... Je hennis de plus belle, mon cri d'appel résonnant dans cet endroit de mort. Je tournais sur moi-même, essayait de ne pas tomber... Mais soudain, une lumière magnifique, légèrement argentée, translucide mais pure, m'éclaira. Je me tournais vers sa source...
- E-E-toi-Étoile d'Orient ? Balbutiais-je.
Il me sourit, s'avança vers moi d'un pas si léger, si gracieux !
- Oui, répondit-il de sa voix magnifique.
Bouche bée, je l'observais. Il était tel que dans mes souvenirs. Majestueux, d'un noir pur aux reflets de cuivre, seul le sang était absent de sa robe.
- Mais...Commençais-je.
Il posa sa tête contre la mienne et murmura :
- Non, Célesta, écoute-moi...
- Tu ne vas pas repartir ! Reste !
L'horreur se détachait clairement dans ma réplique.
Il prit un air triste.
- Je ne puis rester...

(je finis tout à l'heure, je dois partir, je termines demain matin...)

(Ok )

Folle de rage devant ce spectacle, je charger les bipèdes, qui, pris de panique voulait fuir mais trop tard... J'en avait percuter un de toute ma puissance et il s'écroula au sol avant de se relever et de partir en courant. Mais malheureusement mes effort était vint, ils était tous les deux inconscient...

(chuis de retour, je vais terminer, héhé ^^)

(Ok, c'était pas long !)